1.
Oui, je ne connais
Qu’un seul Sauveur,
Celui que le Père a donné
J’étais perdu,
Sans paix, sans bonheur,
Par Sa sainte loi condamné,
Or c’est Jésus qui,
Du haut des cieux
Vint mourir, pour moi,
Sur la croix,
M’apportant un salut merveilleux
Qu’Il me donne et que je Reçois.
(Chants de G. et de G. No. 111)